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Disparaîtront-ils un jour ? Nul ne le sait. En attendant, chacun doit faire preuve de vigilance pour éviter de tomber dans le piège. Je veux bien sûr parler des divers types d’arnaques qui pullulent sur le net. Ainsi, Avec les nouvelles technologies, il est devenu encore plus simple d’obtenir les informations nécessaires pour voler l’argent d’honnêtes victimes. Parmi les nombreuses méthodes, on trouve :
- Le quishing, une arnaque qui vise les automobilistes via un QR-code déposé sur leurs pare-brises.
- Le phishing, qui reste très répandu. Cette méthode utilise un mail frauduleux pour récupérer les coordonnées bancaires ou des informations sensibles.
Les arnaques numériques continuent de cibler les plus vulnérables, et les retraités du privé en font actuellement les frais. Parmi elles, une nouvelle vague de phishing vise directement les bénéficiaires de l’Agirc-Arrco. Ces escrocs envoient des e-mails ou SMS frauduleux, soi-disant officiels. Pour extorquer des coordonnées bancaires ou des sommes d’argent.
Comment s’articule cette arnaque ?
Le processus reste classique : un mail ou SMS imitant l’Agirc-Arrco incite les victimes à mettre à jour leurs données via un lien. Puis, celui-ci redirige vers une fausse plateforme où les informations personnelles et bancaires sont dérobées. En outre, les seniors, souvent moins avertis des dangers du numérique, sont des cibles privilégiées de ce type de manœuvre.
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Comment se protéger ?
Heureusement, l’Agirc-Arrco a précisé sur son site qu’aucun collaborateur ne demandera jamais vos coordonnées bancaires ni le versement d’une somme d’argent. Aussi, pour toute sollicitation suspecte, il est conseillé de :
- Vérifier l’adresse de l’expéditeur et se méfier des URL douteuses.
- Ne jamais cliquer sur un lien sans confirmation de sa légitimité.
- Consulter directement le site officiel de l’Agirc-Arrco ou appeler leurs services pour s’assurer de l’authenticité d’une demande.
En cas de doute ou d’arnaque avérée : signalez immédiatement l’incident sur la plateforme officielle du gouvernement et portez plainte auprès des autorités compétentes.
La vigilance reste la meilleure arme pour protéger vos données et éviter ces pièges redoutables.